posté le 26-12-2011 à 13:16:21

Celtic Spirit


 
 "Forêt enchantée" 
 
 
Viens, marchons silencieux dans la forêt d'automne,
Flamboyante, magique et touchante saison,
Quand le vent fait gémir les hautes frondaisons
Et voler les feuilles mortes qui tourbillonnent.

Le long des verts taillis formant comme une haie,
A l'abri des sous-bois, parcourons les sentiers
A travers les grands chênes et les pins forestiers,
Passons au pied des troncs de ces hautes futaies.

Admire l'envolée de ces piliers puissants
Qui tendent vers le ciel leur immense ramure,
Couronnées de leur verte ou rousse chevelure
Que le souffle du vent traverse en mugissant.

Palette admirable des feuillages d'automne !
Symphonie de couleurs où jaunes et orangés
Et rouges au vert profond viennent se mélanger.
Les feuilles d'or là-haut sur les branches frissonnent

Et semblent, en battant, nous dire un au revoir
Avant de s'élancer pour leur ultime danse.
Que de voltes, de sauts et que de révérences
Dans cet unique vol; quel gracieux nonchaloir !
 


Commentaires

 

1. Figue  le 26-12-2011 à 23:54:17  (site)

bonsoir à tous et toutes

Yoomie , j'aime beaucoup la musique celtique

comme la forêt enchantée

c'est dans ce style que j'adore

 
 
 
posté le 26-12-2011 à 13:01:17

Fééries Rennaises 23.12.2011, place de la Mairie

   

 

  

 

 

 

 

 

 

 

Enfin un son et lumières avec un message politique! Plus de 20 minutes de plaisir!

jusqu’au 1er janvier, l’hôtel de ville sera mis en lumière, sur une scénographie de la société Spectaculaires. Le public pourra découvrir la suite des aventures du petit géant, un conte inédit en images monumentales. Ce spectacle sons et lumières, défi artistique et technique, qui sera donné tous les soirs gratuitement et en continu de 18 h à 23 h, ouvre les festivités de fin d’année

Magnifiques images que celles projetées tous les soirs sur la façade de la mairie mettant en scène de Petit Géant de la société Spectaculaires. « Un conte en images monumentales qui sublime l'architecture », note son concepteur, Benoit Quero. De ce point de vue, tout le monde s'accorde à le dire, le défi est bien relevé. On ne peut être qu'émerveillé.. 

                                             

                                             foudeBassan22 fb

 


Commentaires

 

1. whiteafrica  le 28-12-2011 à 15:30:15  (site)

que dire de plus
c magnifique

2. MICHELLISA  le 28-12-2011 à 16:27:27

C"est super beausmiley_id117184

3. Figue  le 07-01-2012 à 23:01:08  (site)

Bonsoir Yoomie et tous

que dire !!! c'est féerique

bonne et agréable soirée à tous

 
 
 
posté le 24-12-2011 à 11:49:05

Noël breton

 
Un bruit s’est répandu dans la Basse-Bretagne.
On dit que l’Enfant-Dieu vient de naître, et soudain
Tout s’émeut de la mer à la noire montagne :
L’un a quitté sa barque et l’autre son jardin.

Que de gens ! Pour mieux voir l’aurore qui se lève,
ll en vient de la lande, il en vient de partout,
Et l’on dirait que tous, après un mauvais rêve,
En plein ciel étoilé s’éveillent tout à coup.

Le penn-bas à la main pour soutenir sa marche,
Un pêcheur au cheveux de neige est en avant.
Jeunes gens, hommes faits suivent le patriarche
Et reprennent en chœur son cantique fervent.

Bas rouges, robe noire et châle des dimanches,
Les femmes bravement leur emboîtent le pas ;
Et c’est au loin comme une mer de coiffes blanches.
Un flot qui toujours roule et qui n’est jamais las.

Fillettes au regard étonné, bonnes vieilles,
Il en est de tout âge et de toute couleur.
C’est le bourdonnement d’une ruche d’abeilles
Sous un soleil d’été, dans le courtil en fleur.

Et derrière, mon Dieu, que d’êtres en guenilles
Au visage dolent et pourtant guilleret !
Des boiteux dans l’azur agitent leurs béquilles,
Des ivrognes font halte au premier cabaret.


II

O chrétiens qui rêvez, en plein péché peut-être,
Aux périssables biens qu’on acquiert en passant,
Voyez donc quel palais a choisi, pour y naître,
L’unique, le grand Roi, le Seigneur tout-puissant.

Regardez, bonnes gens. Ce n’est qu’une humble crèche
Où la mère et l’enfant sont blottis dans le foin.
Un bœuf est là, soufflant de son haleine fraîche,
Un petit âne roux fait hi-han dans un coin.

Pauvre hutte branlante et que rien ne protège,
Sait-elle seulement qui lui vient aujourd’hui ?
Par l’étroite lucarne, où frissonne la neige,
Le vent du Nord tempête et hurle, il est chez lui.

Mais toute jeune est l’accouchée et toute blonde.
Son visage de fleur sourit divinement.
Le poupon qu’elle allaite est le Maître du monde,
Elle le berce, heureuse, avec un tremblement.

Et la mer au dehors, la grande mer s’arrête.
Recueillie et craintive, elle a l’air d’écouter,
Au fond du ciel éclate un cantique de fête ;
Tous les anges de Dieu se sont mis à chanter.


III

Nos gens sont arrivés bien las. Que leur importe ?
Voici l’heure adorable et le divin moment.
« Laissez, mes bons amis, vos penn-bas à la porte,
Dit Joseph, vous aurez bientôt contentement. »

Et la Vierge a souri, plus belle que l’aurore,
L’entant s’est éveillé, tendant ses petits bras.
Ah ! bien abandonné qui souffrirait encore !
Plus d’un tremble la fièvre et ne s’en doute pas.

Mais quel grand souffle emplit la chétive demeure ?
Le biniou prélude. O Dieu, la douce voix ?
C’est, sous le triste ciel, la Bretagne qui pleure,
La Bretagne qui pleure et qui chante à la fois.

Nos commères pourtant ont le cœur bien à l’aise ;
Laquelle ne voudrait toucher le nouveau-né ?
Elles ouvrent des yeux grands comme une fournaise,
Se disent l’une à l’autre : « Oh ! oh ! oh ! ma iné. »

Elles sont à genoux. Leurs larmes fendent l’âme.
Toute mouillée encor, s’envole une chanson.
Faut-il pas attendrir la bonne chère dame
Et faire rire un peu le joli nourrisson ?

Déjà, grâce aux pêcheurs, frétillent sur la paille
De beaux poissons d’argent avec des reflets bleus.
Que ce homard a l’air terrible, et quelle taille !
Le turbot sans pareil, le bar miraculeux ?

Et voici qu’un lait pur écume dans les jattes.
On allume le feu : c’est pour la soupe aux choux.
Il suffit d’un instant pour griller les patates.
Vive les crêpes d’or avec le cidre doux !

La longue Zéphyrine apporte un pot de beurre,
Et choit tout de son long, si grand est son émoi ;
En fait de goutte, Aimée eût toujours la meilleure,
Francine offre son cœur et c’est assez, ma foi.

Mais le plus beau de tout, c’est le petit navire
Que bien dévotement présentent les gamins ;
L’Enfant-Dieu s’émerveille à ce bateau qui vire,
Il rit, en regardant sa mère, et bat des mains.

Seul, monsieur du Jacquot, seigneur plein de prudence,
Reste majestueux. Qui pourrait le troubler ?
Cependant il salue, et, par condescendance,
Il a caressé l’âne avant de s’en aller.
 
 

 

 

 


Commentaires

 

1. Radiopatrick  le 12-01-2012 à 12:24:01  (site)

Magnifique pk

 
 
 
posté le 23-12-2011 à 22:57:50

Noel en Bretagne il était une fois...

 En Bretagne, la plus grande fête de l'année était la fête de Noël, et ce que nous, pauvres paysans, nous aimions le plus dans cette fête, c'était la Messe de minuit.
Maigre plaisir, pour vous autres citadins qui aimez vos aises ; mais qu'était-ce pour nous, paysans, qu'une nuit blanche? 
Même quand il fallait cheminer dans la boue et sous la neige, pas un vieillard, pas une femme n'hésitait.
On ne connaissait pas encore les parapluies à Saint-Jean-Brévelay, ou du moins on n'y connaissait que le nôtre, qui était un sujet d'étonnement et d'admiration.
 
Les femmes retroussaient leurs jupes avec des épingles, mettaient un mouchoir à carreaux par-dessus leurs coiffes, et partaient bravement dans leurs sabots pour se rendre à la paroisse.
Il s'agissait bien de dormir !
 
Personne ne l'aurait pu.
Le carillon commençait dès la veille après l'Angélus du soir, et recommençait de demi-heure en demi-heure jusqu'à minuit !
Et pendant ce temps-là, pour surcroît de béatitude, les chasseurs ne cessaient pas de tirer des coups de fusil en signe d'allégresse ; mon père fournissait la poudre.
C'était une détonation universelle.
Les petits garçons s'en mêlaient, au risque de s'estropier, quand ils pouvaient mettre la main sur un fusil ou un pistolet.
Le presbytère était à une petite demi-lieue du bourg ; le recteur faisait la course sur son bidet, que le quinquiss (le bedeau) tenait par la bride.
 
Une douzaine de paysans l'escortaient, en lui tirant des coups de fusil aux oreilles. Cela ne lui faisait pas peur, car c'était un vieux chouan, et il avait la mort de plus d'un bleu sur la conscience.
Avec cela, bon et compatissant, et le plus pacifique des hommes, depuis qu'il portait la soutane, et que le roi était revenu.
On faisait ce soir-là de grands préparatifs à la maison.
Telin-Charles et Le Halloco mesuraient le foyer et la porte de la cuisine d'un air important, comme s'ils n'en avaient pas connu les dimensions depuis bien des années.
Il s'agissait d'introduire la bûche de Noël, et de la choisir aussi grande que possible.
On abattait un gros arbre pour cela ; on attelait quatre bœufs, on la traînait jusqu'à Kerjau (c'était le nom de notre maison), on se mettait à huit ou dix pour la soulever, pour la porter, pour la placer.
On arrivait à grand-peine à la faire tenir au fond de l'âtre.
On l'enjolivait avec des guirlandes.
On l'assurait avec des trônes de jeunes arbres.
On plaçait dessus un gros bouquet de fleurs sauvages, ou pour mieux dire de plantes vivaces.
On faisait disparaître la table du milieu ; la famille mangeait un morceau sur le pouce. Les murs étaient couverts de nappes et de draps blancs, comme pour la Fête-Dieu.
On y attachait des dessins de ma sœur Louise et de ma sœur Hermine, la bonne Vierge, l'Enfant Jésus.
Il y avait aussi des inscriptions : Et homo factus est !
On ôtait toutes les chaises pour faire de la place, nos visiteuses n'ayant pas coutume de s'asseoir autrement que sur leurs talons.
Il ne restait qu'une chaise pour ma mère, et une tante Gabrielle, qu'on traitait avec déférence et qui avait quatre-vingt-six ans.
C'est celle-là, mes enfants, qui savait des histoires de la Terreur !
Tout le monde en savait autour de moi, et mon père, plus que personne, s'il avait voulu parler.
C'était un bleu, et son silence obstiné était peut-être conseillé par la prudence, dans un pays où il n'y avait que des chouans. 
L'encombrement était tel dans la cuisine, tout le monde voulant se rendre utile et apporter du genêt, des branches de sapin, des branches de houx, et le bruit était si assourdissant, à cause des clous qu'on plantait et des casseroles qu'on bousculait, et il venait un tel brait du dehors, bruits de cloches, de coups de fusil, de chansons, de conversations et de sabots, qu'on se serait cru au moment le plus agité d'une foire.
A onze heures et demie, on entendait crier dans la rue : Naoutrou Personn ! Naoutrou Personn ! (M. le recteur, M. le recteur).
On répétait ce cri dans la cuisine, et à l'instant tous les hommes en sortaient ; il ne restait que les femmes avec la famille.
Il se faisait un silence profond.
Le recteur arrivait, descendait de son bidet que je tenais par la bride (c'est-à-dire que j'étais censé le tenir, mais on le tenait pour moi,il n'avait pas besoin d'être tenu, le pauvre animal).
A peine descendu, M. Moizan montait les trois marches du perron, se tournait vers la foule découverte, ôtait lui-même son chapeau, et disait, après avoir fait lé signe de la croix : Angélus Domini nuntiavit Mariae ". Un millier de voix lui répondaient. 

La prière finie, il entrait dans la maison, saluait mon père et ma mère avec amitié, M. Ozon, le maire, qui venait d'arriver de Pénic-Pichou, et M. Ohio, le maréchal ferrant, qui était greffier du juge de paix. M. Ozon, M. Ohio étaient les plus grands seigneurs du pays.
Ils savaient lire ; ils étaient riches, surtout le premier. On offrait au recteur un verre de cidre qu'il refusait toujours. 

Il partait au bout de quelques minutes, escorté par M. Ozon et M. Ohio, puis, aussitôt, on se disposait à bénir la bûche de Noël. C'était l'affaire de dix minutes.
Mon père et ma mère se tenaient debout à gauche de la cheminée. Les femmes que leur importance ou leurs relations avec la famille autorisaient à pénétrer dans le sanctuaire, ce qui veut dire ici la cuisine, étaient agenouillées devant le foyer en formant un demi-cercle. 

Les hommes se tenaient serrés dans le corridor, dont la porte restait ouverte, et débordaient dans la rue jusqu'au cimetière.
De temps en temps, une femme, qui avait été retenue par quelques soins à donner aux enfants, fendait les rangs qui s'ouvraient devant elle, et venait s'agenouiller avec les autres.
Tante Gabrielle, revêtue de sa mante, ce qui annonçait un grand tralala, était à genoux au milieu, juste en face de la bûche, ayant à côté d'elle un bénitier et une branche de buis, et elle entonnait un cantique que tout le monde répétait en chœur.

Vraiment, si j'en avais retenu les paroles, je ne manquerais pas de les consigner ici ; je les ai oubliées, je le regrette ; non pas pour vous, qui êtes trop civilisés pour vous plaire à ces souvenirs, mais pour moi. Et, après tout, je n'ai que faire de la chanson de tante Gabrielle, puisque je ne sais plus un mot de bas-breton.
L'air était monotone et plaintif, comme tout ce que nous chantons chez nous à la veillée ; il y avait pourtant un crescendo, au moment où la bénédiction allait commencer, qui me donnait ordinairement la chair de poule…
  
                                            Bretony Légendes  IC
 

 
 


Commentaires

 

1. christianus  le 23-05-2012 à 13:33:52

comme cette histoire est belle,belle comme yoomie qui est elle aussi une belle histoire

 
 
 
posté le 23-12-2011 à 15:57:55

Joyeux Noël

 

 

                            yoomie vous souhaite un Joyeux Noël 

 

 


Commentaires

 

1. tilou22  le 23-12-2011 à 17:04:01

Yoomie devrait penser , un peu plus a elle .nous aimons tous son travail .
nous aimons aussi la personne quelle est .
joyeux noel .
tu nous donnes beaucoup

merçi

2. linette  le 26-12-2011 à 09:58:56

très joli ma belle
préserve toi
bisous
linette

 
 
 
posté le 23-12-2011 à 13:49:24

LES PETRIFIES DE BREHAT

LES PETRIFIES DE BREHAT
 
Mais les rochers du Pan racontent surtout le drame du comte Mériadec de Goëllo.
Ses deux fils Gwill et Isselbert, fatigués d'attendre la mort de leur père, décidèrent de le tuer pour entrer en possession de son héritage.
Mériadec eut vent du complot et put s'enfuir, mais ses fils le rejoignirent à la pointe du Pan, et accomplirent leur crime.
Mais quand ils voulurent précipiter le corps de la falaise, ils sentirent leurs membres s'appesentir.
Ils devinrent de pierre, ainsi que le corps du comte, et sont restés pétrifiés sur le vide, à jamais unis par la pétrification de leur père, dont le sang a teinté à jamais tous les rochers de Bréhat.
 
Sur la colinne, les grandes pierres en postures humaines, que l'on dirait agenouillées, sont une curieuse adoration des bergers de l'île.
En effet, un jour le fée du Pan reçut la visite d'une amie chère, une princesse des Eaux.
La visiteuse était si belle que les pauvres bergers laissèrent vaguer leurs troupeaux pour se presser autour d'elle.
Furent-ils trop pressants ? La fille des Eaux pria son amie de la délivrer de ses admirateurs, et la fée Pan les pétrifia comme ils étaient.
 
Ainsi témoigneront-ils inlassablement de la fascinante beauté des sirènes...
 

 
 


Commentaires

 

1. linette  le 23-12-2011 à 15:13:19

hello ma belle
je passe te faire un coucou
linette

2. framboise24  le 27-12-2011 à 08:25:16  (site)


coucou ma douce
gros bisous

 
 
 
posté le 23-12-2011 à 12:26:36

 Pouloud 

Vieille recette du Léon, elle compte parmi les innombrables déclinaisons du far ou farz (voir à far breton).
Le mot pouloud, signifiant, en breton, «grumeau», «motte», «caillot», pourrait se traduire ici par «boules de pâte cuites dans un liquide».

Ce plat rustique, d’une humilité extrême, met en scène le blé noir dans sa prime expression.
La farine est cuite dans un mélange de lait et d’eau.
Le pouloud accompagne la charcuterie, les saucisses, mais revient fréquemment en tant que dessert. Sa préparation, assez amusante, fait le bonheur des enfants.

Certains «l’embourgeoisent» avec crème, œufs, rhum, voire, disposent à côté des quartiers de fruits enrobés de chocolat liquide.
Mais rien ne vaut un «vrai» pouloud, servi avec son lait de cuisson !

Ingrédients (pour 4 pers) :
  • 750g de farine de blé noir
  • ½ l de lait coupé d’eau
  • 100 g de beurre
  • sel
  • 2 l de lait pour la cuisson
  • Rhum

Préparation :
  1. Dans un saladier, délayer la farine avec le lait coupé d’eau et le beurre fondu (rajouter 1 œuf éventuellement) et une pincée de sel. Battre énergiquement ce mélange.
  2. Ajouter si nécessaire un peu de lait chaud, mais sans que la pâte ne devienne liquide.
  3. Dans un faitout, faire bouillir le lait et le maintenir à douce ébullition.
  4. Y jeter à la cuiller à soupe des boules de la grosseur d’une petite quenelle. Cuites, les boulettes remontent à la surface.
  5. Les extraire alors à l’écumoire pour les disposer dans les bols.
  6. Lorsque chaque portion est prête, disposer une noix de beurre par dessus, et répartir le lait épaissi et chaud dans chaque bol.
Auteur F. Zégierman, relecture Keldélice.
 
 
 


Commentaires

 

1. fIGUE  le 10-01-2012 à 09:50:22  (site)



Bonjour Yoomie

je vais tester la recette du pouloude

je ne sais si j'aimerai la farine de blé noir
jamais goutté

avec la farine blanche oui sur je vais aimer , sans oublier le Rhum " lol "

bonne et agréable journée à toi Yoomie bisous

 
 
 
posté le 22-12-2011 à 21:20:09

"terre de nos aieux"

La Bretagne...
 
terre parsemée de massifs colossaux
 
autour desquels gravitent les fleurs
 
renfermant les passés ancestraux
 
d'une âme sauvage qui console nos coeurs...
 
 
storgé 
 
 

 


 

                                   http://storge.vefblog.net/

 


Commentaires

 

1. tilou22  le 23-12-2011 à 00:01:16  (site)

elle est tres belle cette jolie mouette de BréhatTux

 
 
 
posté le 22-12-2011 à 19:58:56

Un peu d'humour

 

  

  

   

  

  

 
 


 
 
posté le 22-12-2011 à 17:51:51

Douarnenez

 Diaporama sur la Ville de DOUARNENEZ ( sud-finistère )
 
 Douarnenez est une commune française, située dans le département du Finistère et la région Bretagne.
Douarnenez garde encore la réputation d'un grand port sardinier, même si les caprices de la sardine, au fil du temps, ont entraîné une diversification des pêches autrefois saisonnières.
Port de pêche florissant jusqu'à la fin des années 1970 et début 1980, il a connu un très net déclin depuis.
L'activité de la pêche y est aujourd'hui marginale mais de nombreux bateaux y débarquent leur pêche.
C'est également un port de plaisance important du Finistère avec Tréboul et le Port-Rhu.
Ses habitants portent le nom de Douarnenistes ; leurs voisins les appellent parfois (notamment les femmes) Penn Sardin, en référence à la coiffe que portaient les femmes et qui ressemble à la tête d'une sardine2 (penn signifiant tête en breton).
La commune fut agrandie en 1945 en fusionnant avec les communes voisines de Ploaré, Pouldavid et Tréboul, aujourd'hui connue comme une ville au trois ports (port-musée, port de pêche, port de plaisance).
 Wikipédia
 
 
 
                                  Merci Diablesse  IC
 

 

 

                                                 
                                                Diablesse ic 
 


 
 
posté le 22-12-2011 à 16:41:59

Sabayon de chouchenn

Sabayon de chouchenn de Roudouallec aux pommes
 
Ingrédients :
  • 4 pommes fruits
  • 1 orange
  • 50 g de beurre
  • 20 cl de chouchenn
  • 120 g de sucre
  • 4 jaunes d’œufs
  • 1 pincée de cannelle en poudre
Préparation :
  1. Couper les pommes en quartier sans les éplucher.
  2. Les saupoudrer de cannelle et les cuire au beurre.
  3. Dans une casserole à fond épais, mettre les jaunes d’œufs, le jus d’orange, le chouchenn et le sucre.
  4. Fouetter le tout à feu doux, au bain-maire, de façon à obtenir une crème nappante.
  5. Répartir cette préparation dans le fond des assiettes.
  6. Garnir avec les quartiers de pommes.
  7. Passer à grill du four très chaud pour colorer.
 
 
 
 


Commentaires

 

1. Figue   le 23-12-2011 à 02:28:35  (site)

Hummmmmmm le Chouchenn

très bon

j'ai acheté près de chez moi

j'ai été déçue

donc j'ai eu plaisir à en boire du très bon

qu'une fois

dommage

2. Figue   le 23-12-2011 à 02:30:26  (site)

Hummmmmmm le Chouchenn

très bon

j'ai acheté près de chez moi

j'ai été déçue

donc j'ai eu plaisir à en boire du très bon

qu'une fois

dommage

3. framboise24  le 25-12-2011 à 11:52:35  (site)

coucou ma douce
comme ca doit etre bon!!!

gros bisous

4. ppone  le 26-12-2011 à 21:02:01

ça a l'air bien appétissant tout cela ...

 
 
 
posté le 22-12-2011 à 16:27:30

Chloe Agnew - Walking In The Air

 

 

 Chloë Agnew Alexandra Adèle Emily (née le 9 Juin 1989 à Dublin , en Irlande ) est un irlandais chanteur qui est l'un des membres actuels du musique celtique du groupe Celtic Woman comme le plus jeune membre.

Elle vient d'Knocklyon, comté de Dublin, où elle vivait avec sa mère Adèle "Twink" Roi et la jeune soeur de Naomi.

Elle chante en anglais, irlandais, latins, italiens et allemand. 

 


Commentaires

 

1. framboise24  le 22-12-2011 à 19:01:38  (site)


bonne soiree ma douce amie
gros bisous a toi

2. framboise24  le 23-12-2011 à 12:31:07  (site)

bonjour ma douce
comme toutes les musiques bretonnes elle est tres belle
gros bisous

3. coco0742  le 24-12-2011 à 00:15:00  (site)

superbe chanson

4. framboise 24  le 24-12-2011 à 14:02:11  (site)


coucou ma douce
superbe chanson
gros bisous

5. paat  le 25-12-2011 à 12:01:33

un joyeux noël a toutezétous
on n'estjamais seul car il y atoujours des bonnes personnes ki pensent à nous !!
et je les embrasse très fort , et plus particulièrement toi YOMIE
un bisou kome tu les aimes!!smiley_id117182

6. paat  le 27-12-2011 à 10:14:34

bonjour , la bretagne""ici marseille vous avez la mer , on l'a aussi , les bâteaux , on en a aussi, des petites îles , nous aussi !!de belles plages , nous aussi! ! du soleil 'nous aussi !! de la pluie ,, nous ''''jamais!! voilà bcp de points communs

bisous ma princesse

 
 
 
posté le 21-12-2011 à 17:53:14

La buche de noël au chocolat et caramel au beurre salé

Une petite découverte qui ravira toutes les familles fans de cuisine bretonne pour noël : la buche de noël au chocolat et caramel au beurre salé.
 
Pour 6 personnes :
  • Préparation : 30 mn
  • Cuisson : 10 mn
  • Repos : 6 à 12 h
 
Ingrédients
  • 50 g de chocolat noir
  • oeufs
  • 100 g de sucre
  • 100 g de farine
  • 30 g de cacao en poudre
  • 20 g de beurre
  • Sucre candy
  • 1 bac de 1L de glace au caramel au beurre salé
Ustensiles et cuisson
  • Four
  • 2 saladiers
  • Batteur
  • Papier sulfurisé (papier cuisson)
  • Préchauffez votre four à 210°c (thermostat 7)
 
Opérations :
  1. Réalisez tout d’abord le biscuit roulé qui sera la base de votre bûche bretonne.
  2. Séparez les blancs des jaunes d’oeufs.
  3. Mélangez le sucre et les jaunes d’oeufs dans un saladier.
  4. Fouettez-les jusqu’à l’obtention d’un mélange blanc.
  5. Ajoutez la farine et le cacao puis mélangez encore énergiquement.
  6. Dans un autre saladier, mélangez les blancs d’oeufs et le sel.
  7. Montez-les blancs en neige.
  8. Incorporez les dans votre précédent mélange très délicatement.
  9. Recouvrez la plaque du four avec du papier cuisson et étalez la pâte de façon égale.
  10. Faites cuire la pâte durant 8 à 10 mn.
  11. Enlevez le biscuit de la plaque en prenant soin de laisser le papier cuisson.
  12. Recouvrez le tout d’un torchon propre.
  13. Laissez refroidir le biscuit. Retirez le torchon et retournez le biscuit sur une surface propre.
  14. Enlevez délicatement le papier cuisson.
  15. Laissez ramollir la glace à température ambiante pendant une quinzaine de minutes.
  16. Assouplissez la glace à l’aide d’une spatule et recouvrez le biscuit de façon uniforme.
  17. Roulez le biscuit.
  18. Déposez votre bûche bretonne sur un plat et placez-la immédiatement au congélateur pendant 6 à 12 h.
  19. Râpez du chocolat noir en petits copeaux avec une râpe ou un couteau.
  20. Sortez votre bûche au moment du dessert et parsemez la de copeaux et de sucre candy.

 


Commentaires

 

1. gaby621  le 22-12-2011 à 10:39:57  (site)

bonjour
elle a l'air tres bonne cette buche
bisous

2. linette  le 22-12-2011 à 15:45:51

sympa la recette
beau dessn aussi
mille bisous
Linette

3. annick831  le 22-12-2011 à 19:08:49

trop bien , et pas dure a faire en plus
cette recette , ma douce yoomie , bisous

4. Figue   le 23-12-2011 à 02:24:24  (site)

Bonjour Youmie et tous

pour la bûche Chocolat et caramel au beurre salé

est ce qu'on à le gout salé et sucré ?

on sent léger le salé au gout ?

j'essaierai au chocolat au lait ou à la pralinoise

5. Figue   le 23-12-2011 à 02:30:47  (site)

Bonjour Youmie et tous

pour la bûche Chocolat et caramel au beurre salé

est ce qu'on à le gout salé et sucré ?

on sent léger le salé au gout ?

j'essaierai au chocolat au lait ou à la pralinoise

 
 
 
posté le 21-12-2011 à 17:41:27

Cours de La danse bretonne Traditionnelle

  Gavotte des montagnes
 

 
 
Une méthode ludique, simple et efficace pour apprendre les danses de Bretagne.

Pour la première fois la Confédération Kendalc'h, la plus importante confédération culturelle bretonne, propose à tous une méthode ludique, simple et efficace pour apprendre les danses de Bretagne.

Les enseignants référents de chaque grande famille et terroirs de danses bretonnes mettent leur enseignement à votre portée, en images et en musiques. Chaque danse est présentée, tous les pas et figures sont expliqués en détail, puis mis en pratique en musique pour un apprentissage idéal.

Votre professeur de danses bretonnes "à domicile", aussi souvent que vous le souhaitez, pour que la tradition s'allie aux loisirs et au plaisir de danser pour le plus grand nombre, en fest-noz, en famille, en toutes occasions. "Apprenez les danses bretonnes "allie l'hommage aux anciens et la modernité de la danse bretonne aujourd'hui.

Tourné en multi caméras et haute définition.

Contenu :
Pays Montagne :
Gavotte des montagnes
 
 Cours de danse bretonne sur :
 


 
 
posté le 21-12-2011 à 15:58:13

Quiberon

Tempête à Quiberon

 

 

  Hotel Port Haliguen - Quiberon.

 

                                         Yves Le Jeun  FB

 

                             http://www.flickr.com/photos/32163749@N02/

 
 


Commentaires

 

1. anaflore  le 21-12-2011 à 17:21:51  (site)

magnifique notre bretagne bon noel

 
 
 
 

Ajouter un commentaire

Pseudo : Réserve ton pseudo ici
Email :
Site :
Commentaire :

Smileys

 
 
 
Rappel article